Faraëkoto
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création Séverine Bidaud , avec et interprété par Sandra Geco, Giovanni Leocadie, textes, conseils dramaturgiques Marion Aubert, aide à la chorégraphie Joëlle Iffrig, aide à l’écriture, documentation Jane-Carole Bidaud, musiques originales Natyve, lumières Esteban Loirat, vidéo Pascal Minet, costumes Alice Touvet, conseiller artistique, appui à la technique Carlo Diaconale, remerciement pour les voix Oumarou Bambara, Delphine Lacouque, Flore Taguiev, Talila, regards complices Natacha Balet, Cault Nzelo, Amélie Jousseaume, Isabelle Job, Madeline, crédit photo Patrick Berger
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coproductions La DRAC Normandie – La Région Normandie – Le Département de Seine-Maritime – Le Sillon de Petit-Couronne (76) – Le Piaf de Bernay (27) – Le Théâtre des Miroirs à La Glacerie, Cherbourg en Cotentin (50) – L’Expansion artistique, Théâtre Charles Dullin à Grand-Quevilly (76) – C3, Le Cube à Douvresla-Délivrande (14) – Théâtre Jacques Prévert, Aulnay-sous-Bois (93) – C'est Coisel ?, Saint-André-sur-Orne, Saint-Martin-de-Fontenay (61), avec le soutien de (pour la mise à disposition de ses lieux de création et de recherche) L’Etincelle, Théâtre(s) de la ville de Rouen (76) – La Villette, Paris (75) – Le Flow, le Centre Eurorégional des Cultures Urbaines, Lille (59) – La Maison des Arts de Créteil, Scène Nationale (94) – La Salle Gérard-Philipe, Bonneuil-sur-Marne (94) – L’Entre-Pont, Nice (06) – L’Espace Charles Vanel, Lagny-sur-Marne (77) – La Salle Jean-Renoir à Bois-Colombes (92), avec le soutien de l’ODIA Normandie, Office de diffusion et d’information artistique de Normandie
Un décor qui nous semble familier : une forêt sombre et inquiétante, un loup qui rode et deux enfants abandonnés par leurs parents. Fara et Koto, une sœur et son frère, livrés à eux-mêmes vont devoir faire face à l’inconnu : celle qui les entoure mais aussi la part qu’ils portent en eux. En effet, Fara à des jambes en caoutchouc et Koto ne peux pas parler. Arriveront-ils à faire de leur relation une force face aux défis qui les attendent ?
Faraëkoto aborde la différence, celles des corps parfois empêchés, à travers un conte initiatique mêlant la danse, la vidéo et les mots. Hip-hop et breakdance s’entremêlent pour donner corps aux différentes émotions qui traversent les enfants dans cette lutte fraternelle pour la liberté.
À partir de ce ballet conté, inspiré d’un conte malgache populaire et qui rappelle l’histoire d’Hansel et Gretel, Séverine Bidaud pose un autre regard sur le handicap. Il devient un langage du corps par lequel s’exprime d’autres sensibilités sur le monde. Un spectacle inspirant et poétique à découvrir en famille.
